Le lauréat du prix Nobel de physique de l'année dernière signe une déclaration mondiale...

Le lauréat du prix Nobel de physique de l'année dernière signe une déclaration mondiale sur le climat affirmant qu'"il n'y a pas d'urgence climatique".

LU LA

Un des géants de la science moderne, Dr. John Clauser, a signé la  World Climate Declaration (WCD) qui établit qu’il n’y a pas d’urgence climatique.
 
M. Clauser est le co-lauréat du prix Nobel de physique de l’année dernière et il a récemment provoqué une onde de choc dans l’industrie climatique en déclarant que le discours populaire sur le climat “reflète une dangereuse corruption de la science qui menace l’économie mondiale et le bien-être de milliards de personnes”.

La CMB affirme que la science du climat a dégénéré en un débat basé sur des croyances, et non sur une science critique solide.

En août dernier, le Daily Sceptic a mis en avant la CMB dans un article qui est devenu viral sur les médias sociaux. La CMB a été comparée à la déclaration de Great Barrington (GBD), qui rendait publiques les opinions d’éminents scientifiques médicaux qui n’étaient pas d’accord avec l’épisode désastreux de l’enfermement de Covid. Comme la GBD, la CMB a été ignorée par les politiciens et les médias. Mais depuis août dernier, elle a attiré 500 signataires supplémentaires et la liste actuelle compte 1 609 scientifiques et professionnels. Plus de 300 universitaires ont signé la liste, et M. Clauser est le deuxième lauréat du prix Nobel de physique à apporter son soutien.

La CMB estime que la recherche sur le climat doit accorder beaucoup plus d’importance à la science empirique. Pour sa part, M. Clauser a déclaré récemment à un groupe de jeunes scientifiques coréens qu’ils devaient suivre la méthode scientifique fondée sur de bonnes observations et expériences. Les bonnes observations l’emportent toujours sur les théories purement spéculatives. Se référant à la science du climat, il a noté que le monde était “littéralement inondé, saturé, de pseudoscience, de mauvaise science, de désinformation scientifique et de désinformation”.

À l’heure où Antonio Guterres, le chef des Nations unies, affirme que le monde est entré dans une ère d'”ébullition mondiale”, il estime que le GIEC, financé par les Nations unies, “est l’une des pires sources de désinformation dangereuse”.

La CMB critique largement le discours climatique “établi” qui a été compilé sans pitié pendant des décennies pour promouvoir un programme extrémiste “Net Zero”. Elle note que les modèles climatiques ne sont “pas du tout plausibles en tant qu’outils de politique mondiale”. Ils “exagèrent” l’effet des gaz à effet de serre tels que le dioxyde de carbone et “ignorent le fait que l’enrichissement de l’atmosphère en CO2 est bénéfique”. Il n’existe aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les catastrophes naturelles et il n’y a pas d’urgence climatique. Il n’y a donc pas lieu de paniquer ni de s’alarmer.

Mais bien sûr, la panique et l’alarme jouent un rôle essentiel dans la promotion de l’agenda collectiviste du Net Zéro.