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Le Blog de jlduret

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Pensez juste ou pensez faux mais pensez par vous-même ! Depuis Socrate, le devoir du penseur n’est pas de répéter la doxa du moment mais de la questionner. Sans cette liberté d’exprimer opinions et pensées, point de démocratie.


COVID: une étude australienne appuie la thèse de l’accident de laboratoire

Publié par jlduret sur 20 Mars 2024, 19:12pm

Catégories : #Covid fuite de laboratoire

COVID: une étude australienne appuie la thèse de l’accident de laboratoire

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Lalaina Andriamparany

 

Origine naturelle ou fuite du laboratoire P4 de Wuhan ?

L’origine du Covid-19 continue à susciter de nombreuses interrogations, avec des théories divergentes concernant la transmission du virus à l’homme ou une possible fuite de laboratoire.

La thèse officielle du gouvernement chinois est, encore aujourd’hui, celle d’une origine naturelle du virus, à partir d’une zoonose issue de la chauve-souris ou du Pangolin. Une récente étude australienne publiée dans la revue universitaire à comité de lecture Risk Analysis remet en question cette hypothèse. Cette étude propose une probabilité plus élevée du COVID-19 provenant d’un laboratoire plutôt que d’une source naturelle.

 

Une étude de la revue Risk Analysis s’est concentrée sur la probabilité d’une origine non naturelle du Covid-19. Les chercheurs ont trouvé de nouvelles preuves indiquant qu’on ne peut pas écarter l’origine en laboratoire. Les agences de renseignements des États-Unis ont de plus en plus d’éléments pour étayer la thèse de la sortie accidentelle du SARS-Cov-2 “cultivé” au laboratoire P4 de la ville de Wuhan. Cependant, le gouvernement américain est gêné aux entournures. Il y a en effet de fortes présomptions concernant une participation américaine aux recherches de Wuhan. Les origines du Covid-19 restent difficiles à établir parce qu’il y a encore volonté de cacher la vérité.

Une étude basée sur l’outil Grunow-Finke modifié (mGFT)

Plus de quatre ans après le début de la pandémie, l’origine du Covid-19 reste encore inconnue, bien que de nombreuses enquêtes aient été menées. En effet, de nombreuses études se sont concentrées sur la recherche d’une origine zoonotique comme la transmission par un hôte animal. Cependant, le manque de preuves ne permet pas de l’affirmer. 

La recherche publiée dans Risk Analysis a utilisé un outil d’analyse des risques bien établi, l’outil d’évaluation Grunow-Finke modifié (mGFT), pour étudier l’origine probable de la COVID-19. Conçu pour différencier les épidémies naturelles des épidémies non naturelles, le mGFT a évalué plusieurs critères spécifiques liés à l’épidémie de COVID-19.

Cette méthodologie a été conçue pour évaluer la possibilité qu’une épidémie a une origine naturelle ou non naturelle. Ces critères comprenaient la répartition géographique de la maladie, la présence du virus dans les laboratoires, le réservoir naturel du virus, le moment de l’épidémie par rapport à d’autres événements, et d’autres modèles de propagation ou de manifestation inhabituels de la maladie.

Grâce à cet outil, les chercheurs peuvent évaluer systématiquement les données et déterminer les preuves indiquant l’origine probable de l’épidémie. Il peut donc les aider à obtenir des réponses et à prendre des décisions plus éclairées.

Les résultats de l’étude

En appliquant le mGFT à l’origine du SRAS-CoV-2, les chercheurs ont obtenu un score indiquant une probabilité plus élevée d’une origine non naturelle que naturelle du virus. Ce score, obtenu à partir de 11 critères évalués, soulève des questions sur l’origine réelle du virus et suggère la nécessité de considérer sérieusement la possibilité d’une origine en laboratoire.

Le  mGFT a obtenu un score de 41/60 points, soit 68%, avec une fiabilité inter-évaluateurs élevée (100) indiquant la probabilité d’une origine non naturelle du SRAS-CoV-2.

Selon les chercheurs qui ont mené cette étude de la revue Risk Analysis, cette évaluation ne permet pas pour autant de connaître l’origine de la pandémie. Elle démontre seulement la possibilité qu’elle soit originaire d’un laboratoire.

Pour autant, nous avons déjà parlé à nos lecteurs de comment le Pentagone a financé le laboratoire P4 de Wuhan et de comment il pourrait être directement responsable d’un accident de laboratoire à Wuhan à l’origine de la pandémie du COVID-19. Elon Musk a déjà fait allusion, dans un tweet, au financement américain de recherches au laboratoire P4 de Wuhan d’où s’est vraisemblablement échappé le virus du SARS-CoV2.

 

 

 

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D
Très probablement accidentellement ; si il vient du labo qui faisait des recherches de "gains de fonction".<br /> Le Pr Montagnier, qui a été dénigré comme les Raoult Personne et les autres parce qu'ils ne répétaient pas la doxa, a dit avant sa mort avoir examiné la séquence du virus et y avait trouvé une "portion" que l'on trouve dans le virus du Sida et qu'il était impossible que cette portion ait pu être insérée dan la séquence par un quelconque processus naturel. Bon il a été traité de sénile ; pour un Noble c'est une reconnaissance sympathique. On a préféré croire cet idiot de Véran !! Comprenne qui pourra.
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Z
Si l’on admet que le virus sort d’un labo, la question qui vient immédiatement derrière est comment est sorti le virus, accidentellement ou volontairement ?
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