Alors que les nouvelles données du gouvernement fédéral américain ont révélé que seulement 56 millions d’américains ont reçu le vaccin anti – Covid-19 actualisé. Les Centers for Disease Control and Prevention affirment qu’il y a un « besoin urgent » d’augmenter la couverture vaccinale face à l’augmentation des niveaux de maladies respiratoires.
Vendredi, la Food and Drug Administration (FDA) a dénoncé les déclarations du chirurgien général de Floride, Joseph Ladapo, qui remettaient en question la sécurité des vaccins COVID-19, avançant des inquiétudes sur le potentiel cancérogène des vaccins ARNm. Pour la FDA, cette affirmation est pure désinformation ,pouvant avoir avec des conséquences graves pour la santé publique. Pour le gouverneur de la Floride Ron DeSantis, les agences fédérales de santé restent le « bras armé de Big Pharma » avec leur « autoritarisme médical » (obligations du port de masques, obligations vaccinales…).
Début septembre, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) américains ont préconisé une large utilisation des vaccins COVID-19 mis à jour, pour toute personne âgée de 6 mois et plus. Cette recommandation a suscité la controverse en Floride, le chirurgien général Dr Joseph Ladapo, a déconseille vivement le nouveau vaccin mis à jour pour les moins de 65 ans. Pour rappel, en 2022, la Floride a été le premier État à recommander officiellement de ne pas administrer les vaccins COVID-19 aux enfants en bonne santé. A l’époque la porte-parole de la Maison-Blanche, Jen Psaki, avait qualifié de “profondément inquiétante”, la décision du département de la santé de Floride et continue de pousser à la doxa vaccinale. Précédemment, le Dr Ladapo a fait de nombreuses déclarations sur la dangerosité des vaccins, vivement critiquées par les démocrates et les épidémiologistes. Il a par exemple déconseillé aux jeunes hommes de se faire vacciner en raison des cas d’inflammation cardiaque signalés. Le Dr Ladapo a évoqué les nombreux effets indésirables des vaccins tels que « les troubles de la coagulation, les lésions cardiaques aiguës, la paralysie de Bell, l’encéphalite, l’appendicite et le zona ». A ce jour, seulement 11 % des Floridiens ont reçu un booster actualisé.
Ladapo alerte sur les effets indésirables des injections ARN
Dans une lettre récente à la FDA, le chirurgien général nommé par le gouverneur Ron DeSantis, Joseph Ladapo a émis des doutes sérieux sur la sécurité des vaccins COVID-19, en particulier ceux à ARNm. Il a soulevé la possibilité que le système d’administration de ces vaccins puisse introduire de l’ADN contaminant dans les cellules humaines, augmentant ainsi le risque de cancer.
Ladapo avait également demandé à la FDA et au CDC si le risque d’intégration de l’ADN a été évalué par les fabricants de vaccin et fourni aux agences fédérales.
Dr. Kawsar Talaat, professeur associé au département de la santé internationale de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, a répondu que ces préoccupations n’ont aucune base scientifique.
De même le Dr. Peter Marks, directeur du Center for Biologics Evaluation and Research for the FDA, a qualifié les allégations du Dr Ladapo d’infondées sur le plan scientifique.
Dans un communiqué, Marks souligne que Ladapo a mal interprété les processus cellulaires, expliquant qu’il est scientifiquement improbable que des quantités significatives d’ADN contaminant se retrouvent dans le noyau des cellules humaines. De plus, Marks insiste sur le rôle crucial des vaccins dans la réduction des risques de décès, d’hospitalisation et de maladies graves liées au COVID-19. Toujours ce narratif du « seul le vaccin peut nous sauver », puis du « seuls d’irresponsables complotistes refusent le vaccin ».
Pour mémoire, le microbiologiste Kevin McKerman avait révélé dans une étude que les vaccins Pfizer ARNm sont contaminés par la présence de l’ADN double brin et les promoteurs du virus simien 40 (SV40). Le niveau de contamination est élevé puisqu’il est de 30%. C’est une quantité qui dépasse les limites réglementaires en Europe et aux États-Unis. Notons que la présence de l’ADN dans les vaccins constitue une véritable source de danger pour les personnes vaccinées.
Réticence vaccinale à cause de la désinformation
Pour Dr. Kawsar Talaat, « ces déclarations de Ladapo sont conçues pour effrayer les gens plutôt que d’enquêter sur la vraie science ». Elle dénonce l’impact de cette désinformation, qui reflète le faible taux de vaccination en Floride, une tendance qui s’étend sur tout le continent américain.
En effet, seulement 11 % des Floridiens ont reçu une mise à jour du vaccin COVID-19, malgré la population significative de personnes âgées, les plus vulnérables. La FDA accuse le gouverneur et son chirurgien général de désinformation, ayant contribué à cette réticence vaccinale, mettant en danger la population face à la persistance du virus.
Comme toujours, les autorités sanitaires américaines justifient leur décision en invoquant l’importance primordiale de la santé publique et la menace potentielle d’une situation d’urgence pandémique. Comme toujours, il y a une tendance à étouffer l’information lorsque des preuves scientifiques liées aux effets secondaires des injections contre le Covid. Les informations ne sont pas relayées, les médias subventionnés choisissent délibérément d’ignorer les preuves lorsqu’elles sont disponibles.
Ladapo a fustigé les autorités sanitaires fédérales en déclarant :
« les CDC et la FDA disent toujours quelque chose de très différent … ils ne sont pas francs avec les gens au sujet des données et de ce qui est connu et inconnu et qui est le mieux pour eux. »