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Le Blog de jlduret

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Pensez juste ou pensez faux mais pensez par vous-même ! Depuis Socrate, le devoir du penseur n’est pas de répéter la doxa du moment mais de la questionner. Sans cette liberté d’exprimer opinions et pensées, point de démocratie.


Il n'est pas du tout sûr que le CO2 soit LA cause du réchauffement climatique.

Publié par jlduret sur 8 Novembre 2023, 20:16pm

Catégories : #CO2, #Réchauffement climatique, #Modèles du GIEC

Les modèles climatiques sur lequel on s'appuient sont dramatiquement défaillants.

Les modèles climatiques sur lequel on s'appuient sont dramatiquement défaillants.

Vu ici

L'institut Norvégien des statistiques 

« À l’aide d’arguments théoriques et des données statistiques, nous constatons que l’effet des émissions de CO2 d’origine humaine ne semble pas suffisamment important pour provoquer des changements systématiques dans les fluctuations de température au cours des 200 dernières années. »

C’est la conclusion de l’étude que vient de publier l’Institut norvégien des statistiques, organisme officiel rattaché au gouvernement.

Sur plus de 120 pages, les auteurs ont rassemblé des dizaines de graphiques et de chiffres afin de répondre à la question suivante :

« Avons-nous suffisamment de preuves scientifiques pour prouver que le CO2 émis par les hommes réchauffe la Terre ? ».

Leur réponse est non.

Et les experts de rappeler que notre planète a connu, dans le passé, plusieurs périodes de refroidissement et de réchauffement qui n’étaient nullement provoquées par l’homme (voir le graph plus bas).

L’étude insiste aussi sur l'absence de fiabilité des simulations climatiques.

C’est ce que dit et écrit Steven E. Koonin.

Une simulation est une interprétation des modèles climatiques qui pourra être démentie avec le temps et ne peut pas établir avec certitude une corrélation entre la cause (le CO2) et les effets (la hausse des températures).

Selon l’étude, « les conditions météorologiques et les températures varient d’une manière difficile à expliquer et à prévoir avec précision. » Les mesures prises aujourd’hui seront très probablement corrigées demain et sûrement après-demain. « Puisque nous utilisons des calculs pour prévoir les températures, écrivent les auteurs, il faut que ces calculs soient précis et significatifs, que la marge d’erreur soit minime ».

Or, ce n’est pas le cas aujourd’hui.

Le climat se réchauffe mais il existe encore des incertitudes sur les causes. Et rien ne justifie de paniquer ou de mépriser les théories qui ne seraient pas catastrophistes et qui ne mettent pas forcément l’homme en cause.

 

 

Il n'est pas du tout sûr que le CO2 soit LA cause du réchauffement climatique.
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Z
Je partage le commentaire de JMB.<br /> Il est temps de cesser de discuter du rôle de l’effet de serre et du CO2. Ni l’un ni l’autre ne jouent dans les changements climatiques successifs. Les scientifiques feraient mieux de se pencher vers l’avenir et d’explorer les facteurs naturels susceptibles de nous diriger vers un prochain refroidissement climatique qui suivra implacablement le récent léger réchauffement. Il est vrai qu’il s’agit là d’une approche multifactorielle autrement plus complexe que l’approche unifactorielle du GIEC basée sur le seul effet de serre.
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J
Je reste ahuri que l'on discute encore de l'attribution du réchauffement au CO2 anthropique alors qu'il est démontré de façon incontestable que toutes les estimations de température sont basées sur des moyennes de température ce qui leur enlève tout sens et permet de conclure que si le réchauffement est une hypothèse plausible elle n'est pas à ce jour confirmée et reste une conjecture tendis que d'autre part l'innocence du Carbone quelque soit son origine est amplement prouvée du fait de la saturation de son effet de serre, comme je le montre dans mes livres et vidéos, mais pour les incrédules, surtout comme l'a à deux reprises affirmé le GIEC avant que les politiques siégeant à la seconde Assemblée >Générale ne les aient obligé à retourner leur veste entrainant la démission et la colère de nombreux membres qui avaient participé à la rédaction du rapport scientifique tandis que les autres ont préféré se prostituer.
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