Allégation explosive : “Des scientifiques constatent que le changement climatique d’origine humaine n’existe pas”

Emmanuel

Une nouvelle étude scientifique pourrait faire voler en éclats les hypothèses fondamentales profondément erronées qui sous-tendent la législation et les initiatives controversées en matière de climat, comme le Green New Deal, à savoir la mesure dans laquelle le “changement climatique” est déterminé par des phénomènes naturels par opposition aux enjeux humains, qui se mesure par le bilan carbone.

Après une série d’études, les scientifiques finlandais n’ont trouvé “pratiquement aucun changement climatique anthropique [c-à-d dû à l’homme]“.

“Au cours des cent dernières années, la température a augmenté d’environ 0,1°C à cause du dioxyde de carbone. La contribution humaine a été d’environ 0,01°C“, déclarent sans détour des chercheurs finlandais dans un article parmi une série d’autres.

Une équipe de l’Université de Kobe au Japon a collaboré à ce projet, qui a fait avancer la théorie des chercheurs finlandais : “De nouvelles données suggèrent que les particules à haute énergie de l’espace, connues sous le nom de rayons cosmiques galactiques, affectent le climat de la Terre en augmentant la couverture nuageuse, provoquant un ‘effet parapluie'”, selon une étude publiée récemment et dont le résumé a été publié dans le journal Science Daily.

Les résultats sont extrêmement significatifs étant donné que cet “effet parapluie” – un phénomène tout à fait naturel – pourrait être le principal moteur du réchauffement climatique, et non des facteurs d’origine humaine. 

Les scientifiques qui ont participé à l’étude s’inquiètent surtout du fait que les modèles climatiques actuels qui alimentent le débat politique, notamment l’échelle de sensibilité climatique du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), ne tiennent pas compte de cette variable cruciale et potentiellement centrale de la couverture nuageuse accrue. 

“Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a discuté de l’impact de la couverture nuageuse sur le climat dans ses évaluations, mais ce phénomène n’a jamais été pris en compte dans les prévisions climatiques en raison d’une compréhension physique insuffisante”, commente le professeur Hyodo dans Science Daily. 

“Cette étude est l’occasion de repenser l’impact des nuages sur le climat. Quand les rayons cosmiques galactiques augmentent, les nuages en basse altitude augmentent, et quand les rayons cosmiques diminuent, les nuages diminuent aussi, de sorte que le réchauffement climatique peut être causé par un effet opposé – parapluie.“

Dans leur article connexe, intitulé à juste titre “Aucune preuve expérimentale de l’importance des changements climatiques anthropiques [d’origine humaine]”, les scientifiques finlandais constatent que la faible couverture nuageuse contrôle “pratiquement” les températures mondiales, mais que “seulement une petite partie” de la concentration accrue de dioxyde de carbone est anthropique, ou causée par les activités humaines. 

Ce qui suit est une section clé

De l’une des études menées par l’équipe de l’Université de Turku en Finlande : 

Nous avons prouvé que les modèles de circulation générale (MCG) utilisés dans le rapport AR5 du GIEC ne peuvent pas calculer correctement la composante naturelle incluse dans la température globale observée. La raison en est que les modèles ne parviennent pas à dériver les influences de la fraction de faible couverture nuageuse sur la température globale. Un composant naturel trop petit entraîne une part trop importante pour la contribution des gaz à effet de serre comme le dioxyde de carbone.C’est pourquoi 6 J. KAUPPINEN ET P. MALMI du GIEC représente la sensibilité du climat de plus d’un ordre de grandeur supérieur à notre sensibilité 0,24°C. Comme la part anthropique de l’augmentation du CO2 est inférieure à 10 %, il n’y a pratiquement pas de changement climatique anthropique. Les nuages en basse altitude contrôlent principalement la température globale.

Cela soulève des questions urgentes et des contradictions fondamentales concernant les modèles actuels que les politiciens et les groupes environnementaux du monde entier utilisent pour provoquer des changements économiques radicaux au sein de la population de leur pays.

Les conclusions des études japonaise et finlandaise suggèrent fortement, par exemple, que les “mesures drastiques de réduction des émissions de carbone”de la députée Alexandria Ocasio-Cortez, qui nécessiteraient des changements radicaux de la législation pour “refaire l’économie américaine”, pourraient non seulement ruiner tout le monde mais ne fonctionneraient même pas, du moins selon les résultats des nouvelles équipes de recherche finlandaise. 

Pour mettre en perspective les “mesures drastiques” d’AOC – basées entièrement sur l’hypothèse fondamentale de l’impact monumental et désastreux de l’activité humaine sur le climat – considérer les conclusions suivantes des études finlandaises : 

“Au cours des cent dernières années, la température a augmenté d’environ 0,1°C à cause du dioxyde de carbone. La contribution humaine était d’environ 0,01°C.“

Ce qui amène les scientifiques à aller plus loin :

“Comme la part anthropique de l’augmentation du dioxyde de carbone est inférieure à 10 %, nous n’avons pratiquement aucun changement climatique anthropique“, ont conclu les chercheurs.

Et l’équipe japonaise a appelé à une réévaluation totale des modèles climatiques actuels, qui restent dangereusement imparfaits pour écarter une variable cruciale : 

Cette étude est l’occasion de redéfinir l’impact des nuages sur le climat. Lorsque les rayons cosmiques galactiques augmentent, les nuages en basse altitude augmentent aussi, et lorsque les rayons cosmiques diminuent, les nuages diminuent aussi, de sorte que le réchauffement climatique peut être causé par un effet opposé – parapluie. L’effet parapluie causé par les rayons cosmiques galactiques est important lorsqu’on pense au réchauffement climatique actuel ainsi qu’à la période chaude de l’ère médiévale.

Si l’on ne tient pas compte de ce fait, on obtient ce qui suit, d’après les résultats de la série d’études : “La sensibilité climatique du GIEC est d’environ un ordre de grandeur trop élevée, parce qu’il manque une forte rétroaction négative des nuages dans les modèles climatiques.”

“Si nous prêtons attention au fait que seule une petite partie de la concentration accrue de CO2 est anthropique, nous devons reconnaître que le changement climatique anthropique n’existe pas dans la pratique“, concluent les chercheurs. 

Bien que nous doutons que les idéologues qui poussent actuellement à refaire radicalement l’économie américaine à travers ce qui finit par être une proposition de 93 billions de dollars (selon une étude) – y compris l’appel d’AOC pour un taux d’imposition maximum de 70% – s’enquièrent soigneusement de cette nouvelle confirmation scientifique présentée dans la nouvelle recherche, nous espérons au moins que la communauté scientifique américaine prendra en compte avant qu’il ne soit trop tard dans la recherche de la science précise et authentique qui pourrait éviter des catastrophes économiques irrémédiables, ajoutant sans doute une vague à travers la planète et contribuant ainsi à une souffrance humaine et environnementale. 

Et “trop tard”, c’est-à-dire pour “l’Armageddon du réchauffement climatique “mythique, imminent ou proche, comme le prétend la “science” hautement politisée des militants et des membres du Congrès, qui est actuellement en vogue. 

Source: Zero Hedge, le 11 juillet 2019 – 

Traduction par Nouvelordremondial.cc