Selon le Wall Street Journal que l'on peut difficilement accuser de manque de fiabilité, le FBI aurait développé des outils qui permettraient à distance d'activer le micro d'un mobile sous Androïd et donc d'écouter à distance et en totale discrétion ce que son propriétaire raconte.
Google et le FBI ont bien entendu décliné tout commentaire, tout comme Samsung le plus gros fabricant sous Androïd.
On ignore donc en particulier s'il s'agit de l'exploitation réelle d'une faille découverte par le FBI et non rendue publique ou si Google a inclus du code spécifique profondément caché dans le code de son OS.
Dans tous les cas ce n'est qu'une nouvelle affaire dans un contexte plus global qui montre combien les Etats-Unis sont à l'écoute de tout et de tout le monde.