Un extrait significatif de la fuite des documents de travail de l'AR5, un graphique qui montre le décalage entre les observations de l'indicateur de température moyenne observée (HadCrut4) et des modèles développés.
Vous avez dit réchauffement climatique ?
Légende : les changements estimés des températures de surface observées moyennées au niveau de la planète et par an en °C depuis 1990 comparées à l'amplitude des
projections des évaluations antérieures du GIEC. Ces valeurs sont recalées sur la valeur moyenne de 1990.
L'anomalie globale annuelle des températures observées par rapport à la période 1961-1990, est figurée par les carrés noirs. (NASA (mise à jour de Hansen et al., 2010; données disponibles
ici http://data.giss.nasa.gov/gistemp/); NOAA (mise à jour de Smith et al., 2008; données disponibles
ici http://www.ncdc.noaa.gov/cmb-faq/anomalies.html#grid); et des ré-analyses du UK Hadley
Centre (Morice et al., 2012; données disponibles icihttp://www.metoffice.gov.uk/hadobs/hadcrut4/)). Les barres
noires figurent l'intervalle de confiance de 90 % du jeu de données de Morice et al. (2012) dû aux mesures, à l'échantillonage, aux biais et à la couverture (voir l'annexe sur les méthodes).
Les bandes colorées figurent l'amplitude escomptée de la température moyenne globale annuelle de surface de 1990 à 2015 pour les modèles suivants : FAR (Scenario D
et business-as-usual), SAR (IS92c/1.5 et IS92e/4.5), TAR (amplitude totale de la Figure 9.13(b) du TAR basée sur le paramètres GFDL_R15_a et DOE PCM), et AR4 (A1B et A1T).
L'intervalle de confiance à 90 % provenant des incertitudes sur les observations et sur la variabilité interne du climat des données de température HadCRUT4 figure en gris. De plus, les années
de publication des rapports d'évaluation du GIEC et de conception des scénarios sont indiquées.
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