Contestée par une foultitude
d'études, cette théorie où l'activité de l'homme et sa consommation d'énergies fossiles provoquent une augmentation du CO2 et un réchauffement de la planète par effet de serre, a du plomb dans
l'aile.
Cet article se conclut par "Les scientifiques de l'IPCC vont devoir choisir l'année prochaine si ils admettront, contrairement à ce que de complexes et invérifiables modèles informatiques leur disent, que les preuves obtenues de l'observation indiquent désormais un changement faible de température, sans dommages. Au nom de tous ces pauvres gens dont les vies sont ruinées par les prix élevés des produits alimentaires et de l'énergie causés par le détournement du maïs en biocarburant et le subventionnement des énergies renouvelables par des carbonocrates et de leurs copains capitalistes, on peut juste espérer que les scientifiques oseront le faire."
Çà tombe bien au moment où l'on apprend
que le charbon, grand fournisseur de gaz à effet de serre, reprend du poil de la bête et pourrait représenter la majorité de l'énergie utilisée d'ici à 5 ans. La Chine achète 50% de la production
mondiale.