par Jade
Une importante étude évaluée par des pairs vient de révéler des preuves irréfutables exposant un lien direct entre la flambée mondiale des insuffisances cardiaques et les injections d’ARNm anti covid.
L’étude a identifié des données officielles faisant état d’un nombre croissant de cas de myocardite parmi les personnes vaccinées contre le Covid au moyen d’injections expérimentales.
Les chercheurs à l’origine de cette étude novatrice, évaluée par des pairs, ont publié leurs conclusions dans les revues Sage de renommée mondiale.
Selon l’article de l’étude, les chercheurs ont analysé les données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) du gouvernement américain.
Le VAERS est une base de données gérée par les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), qui recense les lésions et les effets secondaires liés aux vaccins.
Cas de myocardites en forte hausse
Après analyse des données, l’étude a mis en évidence une augmentation alarmante des cas de myocardite à la suite de la vaccination contre le COVID-19 aux États-Unis.
La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque (myocarde), selon la Mayo Clinic.
L’inflammation peut réduire la capacité du cœur à pomper le sang, entraînant la formation de caillots sanguins, des accidents vasculaires cérébraux, des arrêts cardiaques, voire la mort.
La myocardite est un effet secondaire connu des vaccins à ARNm anti covid, mais la plupart des gens ignorent qu’ils en sont atteints, ce qui en fait une bombe à retardement potentielle pour ceux qui en souffrent.
La nouvelle étude qui a mis en évidence le lien entre l’insuffisance cardiaque et les injections s’est concentrée sur les vaccins de Pfizer-BioNTech BNT162b2, Moderna mRNA-1273 et Janssen Ad26.COV2.S.
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L’étude a révélé que les cas de myocardite signalés après la vaccination en 2021 étaient 223 fois plus élevés que la moyenne de tous les vaccins combinés au cours des 30 dernières années.
L’analyse a utilisé les données VAERS pour examiner la fréquence des myocardites depuis le début de la campagne de vaccination de masse contre le covid.
Elle a comparé ces chiffres avec les données historiques du VAERS et les données d’administration du vaccin contre le COVID-19 provenant de la base de données Our World in Data.
L’étude a montré que la myocardite touchait principalement les jeunes (50 %) et les hommes (69 %).
Parmi les personnes souffrant de myocardite, 76 % des cas nécessitent des soins d’urgence et une hospitalisation.
Notamment, 92 personnes signalées dans l’étude sont décédées des suites d’une myocardite (3 %), ce qui est un chiffre important compte tenu de l’incidence globale de la maladie.
L’analyse statistique, réalisée à l’aide du test t des étudiants et du test chi-carré, a montré que la probabilité de myocardite était plus élevée après la deuxième dose du vaccin.
Le risque d’insuffisance cardiaque était particulièrement élevé chez les personnes âgées de moins de 30 ans.
Les conclusions de l’étude ont suscité de vives réactions dans divers milieux.
Le Dr Jordan Peterson, psychologue canadien de renom, s’est dit alarmé par les résultats de l’étude.
« C’est absolument terrible », a déclaré le Dr Peterson dans un communiqué.
« Il est temps d’engager des poursuites pénales.
La semaine dernière, Slay News a rapporté que la principale agence de santé publique du président démocrate Joe Biden, les CDC, était au courant des inquiétudes concernant l’insuffisance cardiaque chez les Américains vaccinés dès le 25 mai 2021.
L’agence fédérale a même rédigé une alerte pour prévenir le public.
Cependant, les CDC n’ont jamais envoyé l’alerte par crainte qu’elle ne « paraisse alarmiste » et ne « provoque la panique ».
Au lieu de cela, l’administration Biden a dissimulé l’information.
Traduction de Slay News par Aube Digitale