Jean Van Vliet , Master en Sciences et Master et Engineering, directeur retraité
Pour les paresseux voici la conclusion du pdf de la présentation :
Conclusions
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Le réchauffement global est observé depuis 1830 et non depuis 1980, il doit être imputé à l’activité solaire et à la circulation océanique;
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L’attribution au CO2 anthropique de ce réchauffement ne résiste pas à une analyse basée sur les lois de la physique;
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L’inertie des océans, le Soleil et les variations de l’orbite terrestre ont déterminé notre climat passé et détermineront notre climat futur;
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L’augmentation du CO2 atmosphérique accélère la photosynthèse, qu’elle soit terrestre ou marine et est bénéfique pour la biosphère;
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Les risques globaux les plus immédiats pour notre environnement sont: ➢un conflit nucléaire est-ouest généralisé,
➢une éruption volcanique d’indice8 explosif 7,
➢une pandémie,➢la chute d’un astéroïde.
Cette présentation (pdf) (cliquer pour obtenir le pdf) est une version complètement revue et élargie « v2 » d’un article au titre identique qui avait été publié sur SCE en décembre 2020.
Cet article, ainsi qu’un article concomitant du Professeur Georges Geuskens, avait suscité un nombre très important de commentaires et de questions, montrant combien la question du lien encore hypothétique entre teneur de l’atmosphère en CO2 et climat reste une question ouverte, quoiqu’en disent les plus éminents représentants de l’ONU quand ils affirment « détenir le Science » (sic) et avoir ainsi le monopole de la Vérité.
Cette nouvelle version est organisée en 4 parties :
- La description succincte de quelques concepts élémentaires, dont celui de l’effet de serre ;
- Une présentation nécessairement simplifiée, mais aussi objective que possible de la théorie (contenue dans les milliers de pages des rapports AR5 et AR6 du WG1 du GIEC) sur laquelle ce dernier prétend l’existence d’un « consensus » ;
- Une analyse très synthétique de 3 phénomènes naturels influençant les températures de la troposphère, à savoir le transfert de chaleur vertical dans l’atmosphère, l’énergie corpusculaire en provenance du Soleil et l’inertie thermique des océans et des glaces permanentes.
- Une discussion du contenu et enfin des conclusions relatives aussi bien à notre environnement qu’à notre mode de vie.
Une des questions qui restent sans réponse est celle de la raison pour laquelle un débat ouvert sur le rôle du CO2 sur le climat n’est apparemment pas possible au sein de la communauté scientifique belge.
Un tel débat est pourtant absolument indispensable au moment où les gouvernements mettent en place des politiques coercitives au nom d’une transition énergétique à marche forcée socialement et économiquement irresponsable : les objectifs de l’UE en 2030 et 2050 reviennent en effet à ramener les émissions de la Belgique aux niveaux respectifs de 1900 et 1850, pour une population qui aura triplé depuis.