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Le Blog de jlduret

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Pensez juste ou pensez faux mais pensez par vous-même ! Depuis Socrate, le devoir du penseur n’est pas de répéter la doxa du moment mais de la questionner.


Les données climatiques du monde réel s’obstinent à refuser d’obéir aux modèles informatique

Publié par jlduret sur 2 Septembre 2021, 19:46pm

Catégories : #Réchauffement climatique, #Giec

Le discours sur le réchauffement prend un sale coup : « pour lutter, développons l’économie ! »

Selon Patrick Michaels, ancien climatologue de l’État de Virginie, les dommages et les décès par habitant dus aux conditions météorologiques ont considérablement diminué depuis 1980.

Un réchauffement peu destructeur et peu imputable à l'Homme

Le changement climatique est réel, affirme Patrick Michaels, mais il est moins extrême, moins destructeur et moins imputable à l’activité humaine que ne le prétendent les modèles catastrophiques des alarmistes du changement climatique.

Les modèles informatiques du climat sont au cœur des appels à l’interdiction de l’énergie fiable et bon marché qui alimente notre économie florissante et favorise une vie plus saine et plus longue. Depuis des décennies, ces modèles prévoient un réchauffement spectaculaire dû à l’activité humaine, et aux concentrations de dioxyde de carbone dans l’atmosphère dues aux combustibles fossiles. Les prédictions sont catastrophiques.

Le réel s'obstine à ne pas obéir aux modèles

Hélas, les données du monde réel s’obstinent à refuser d’obéir aux modèles informatique, au point que les experts du GIEC considèrent que les températures réelles sont forcément fausses et qu’il ne faut pas s’y référer. Car les température réelles ne montrent qu’un léger réchauffement, principalement la nuit et en hiver.

Dépenser plus intelligemment l'argent gaspillé pour "lutter" contre le RCA

Et pour lutter contre ce léger réchauffement, Michaels a deux propositions qui vont faire grincer des dents les écologistes – des communistes masqués, en réalité : changer le discours, et développer l’économie.

« Il m’est apparu que ce problème de réchauffement était probablement réel, mais aussi probablement exagéré », a déclaré M. Michaels, chercheur principal au Centre pour l’énergie et l’environnement du Competitive Enterprise Institute, au podcast de John Solomon. 

« En d’autres termes, les êtres humains ont quelque chose à voir avec le réchauffement qui s’est produit depuis, disons, la fin des années 1970 jusqu’à la fin des années 1990. Mais c’est relativement peu.

Je pense donc que nous devrions utiliser le terme « tiédeur », plutôt que « réchauffement global » ou « changement climatique ». Parce que le changement, c’est vraiment le travail habituel de l’atmosphère. »

Des dommages "météos" en baisse selon les assureurs

Michaels a déclaré qu’un document qu’il a récemment découvert et qui utilisait des données de Munich Re, une grande compagnie de réassurance multinationale, montrait « que les dommages liés aux conditions météorologiques sur la planète » ont considérablement diminué depuis 1980 « en termes de dommages par habitant, ou de décès par habitant. »

« Cela ne va pas dans la direction qui plaît à tout le monde », a déclaré Michaels, mais c’est la réalité.

« Plus important encore, plus votre pays est riche, moins vous subissez de dommages, et moins vous avez de décès. Il me semble donc que la meilleure chose à faire face à la tiédeur est d’encourager la croissance économique, car les gens s’y adaptent assez bien. »

En d’autres termes, la meilleure réponse à la « tiédeur » est de simplement « continuer à faire ce que nous faisons », a suggéré Michaels.

« Il est très clair qu’il y a moins de décès liés au temps ou au climat lorsque la surface de la planète se réchauffe légèrement », a-t-il noté. 

« En dépit de la croyance conventionnelle, nous rendons la terre plus verte », a-t-il déclaré, ajoutant : « La quantité de vert causée par le simple fait de mettre du CO2 dans l’air est assez spectaculaire. »

Les régions du monde qui verdissent le plus sont les forêts tropicales humides d’Amérique du Sud, d’Afrique et d’Asie de l’Est, qui sont les endroits dont les gens se plaignaient le plus », a expliqué Michaels.

Michaels a suggéré que, compte tenu du fait que moins de personnes meurent, que la planète devient plus verte et que la productivité agricole a augmenté de manière exponentielle au cours des dernières décennies, ce que les gens font actuellement pour la planète est très encourageant, et comme la croissance économique semble fonctionner pour le bénéfice de la Terre – pourquoi tout casser ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Dreuz.info.

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