Depuis quelques semaines je constate que les nouvelles scientifiques, à nouveau, se concentrent toutes vers le réchauffement du climat dont le moteur exclusif est le CO2 selon les experts onusiens de l’IPCC (GIEC).
Le SARS-CoV-2 est presque passé au second plan et cette recrudescence de propagande climatique n’est là que pour maintenir l’angoisse dans ce qui reste de cerveau des Européens, car la plus grande majorité des pays autres que les pays occidentaux se moquent complètement de cette histoire de climat.
Ce dogme qui comme tous les dogmes religieux n’a encore jamais été vérifié ni expérimentalement ni par l’observation est devenu en une trentaine d’années la base d’une nouvelle religion : le réchauffement du climat, que l’on appelle pudiquement aujourd’hui le dérèglement climatique. (NDLR : Dérèglement est bien pratique, si il fait chaud c'est la preuve du réchauffement _sous-entendu de TA FAUTE HUMAIN_ et si il fait froid c'est un dérèglement dû au réchauffement de la FAUTE DE L'HUMAIN)
Ces experts de l’IPCC ont utilisé tous les moyens à leur disposition pour construire cette croyance et en particulier l’usage abusif de modèles quitte à déformer les données provenant d’observations minutieusement consignées depuis le XIe siècle par les moines comme par exemple l’évolution du prix du pain et jusqu’à ce jour avec les observations satellitaires ou au sol.
L’IPCC, pour faire passer auprès des décideurs politiques son dogme, a sciemment ignoré des dizaines de milliers d’archives qui existent pourtant et sont disponibles pour n’importe quel scientifique honnête, non inféodé aux positions onusiennes dominantes relatives au climat.
Comme le socle du dogme de l’IPCC est l’évolution de la teneur atmosphérique en CO2 exprimée en ppmv (parties par million par unité de volume) il était fondamental pour ces fonctionnaires de trier soigneusement toutes les données relatives à ce gaz.
La teneur en ce gaz a toujours varié dans des proportions inattendues, et au cours des 200 dernières années de 300 à 450 ppmv. Entre les années 1800 et 1960 la spectrométrie infra-rouge n’existait pas ou était trop peu sensible pour déterminer correctement cette teneur en CO2 .
La seule technique disponible était le dosage chimique ou volumétrique en piégeant le CO2 avec de la soude, de la potasse ou de la baryte et un dosage en retour du carbonate formé. Cette technique était fiable à 0,0006 % dans le cas des dosages volumétriques et de +/- 0,0003 % dans le cas du dosage en retour du carbonate formé. Pourtant l’IPCC a ignoré la totalité des mesures de CO2 atmosphérique effectuées entre 1800 et 1960, c’est-à-dire plus de 100000 mesures effectuées avec le plus grand soin dans de nombreux pays occidentaux (cf. le lien en fin de billet).
Pourquoi l’IPCC, comme d’ailleurs de nombreux acteurs de la protection du climat et de l’environnement, ont-ils ignoré ces précieuses données ? Tout simplement parce qu’elles remettent en question la théorie de l’effet de serre du CO2 qui est devenue un dogme auquel tout le monde doit croire.
Autrefois c'était l'Eglise Catholique
Il est intéressant de faire ici quelques rappels historiques. Au début du XVIe siècle des ecclésiastiques comme Martin Luther puis Jean Calvin contestent le système des indulgences mis en place par l’Eglise de Rome.
L’avènement de l’imprimerie va grandement favoriser les idées de la Réforme dont le principe fondateur est la seule Bible et rien d’autre. Le document accompagnant la Bible de Luther traduite en allemand ne fait pas mention des saints de l’Eglise de Rome ni du culte de la Vierge, ni du purgatoire, trois dogmes démolis par ces réformateurs de langue allemande et pour Calvin de langue française. La Réforme conduira à des conflits sanglants, guerres civiles et guerres entre Etats, qui perdureront pendant 5 siècles jusqu’à la véritable guerre civile de l’Ulster. C’est dire à quel point ces histoires de dogmes rendent les êtres humains complètement fous, je veux dire incapables de raisonner.
Aujourd'hui c'est l'Eglise Réchauffiste
On en est exactement au même point aujourd’hui avec le dogme de l’effet de serre du CO2. Tout opposant au dogme de l’IPCC n’est plus brûlé sur la place publique mais malicieusement ostracisé par la vindicte populaire et médiatique. Finalement la nature humaine n’a pas changé, son fond de violence est toujours présent mais durant les quelques années qui me restent à vivre je continuerai à combattre cette imposture climatique.
Toutes les mesures économiques et sociétales décidées aujourd’hui par les dirigeants politiques occidentaux pour combattre ce soit-disant réchauffement du climat d’origine humaine ne conduiront pas à des guerres civiles et des massacres mais le résultat sera le même. Nous assisterons progressivement à une paupérisation des populations et une destruction généralisée des économies.
En conclusion il est encore temps de supprimer l’IPCC, organisme soumis aux plans fascistes et totalitaires du World Economic Forum et de laisser s’exprimer les vrais scientifiques non politisés. Mais je dois rêver …
Source de l’illustration : Ernst-Georg Beck, Energy & Environment, Vol. 18, n°2, 2007, pp.259-282 que je tiens à la disposition de mes lecteurs.