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Le Blog de jlduret

Le Blog de jlduret

Pensez juste ou pensez faux mais pensez par vous-même ! Depuis Socrate, le devoir du penseur n’est pas de répéter la doxa du moment mais de la questionner.


Juste pour faire hurler les écolos …..

Publié par jlduret sur 13 Février 2020, 13:23pm

L’humain a t-il réellement encore besoin de la nature ?

NDLR : Un article iconoclaste qui ne manquera pas de susciter des réactions indignées. Après réflexions et hésitations, nous avons décidé de le relayer pour donner à réfléchir "par vous-même".  

Les commentaires sont ouverts, les idées et les contre-arguments admis, mais les insultes seront effacées.

Cette question va à l’encontre de l’air du temps et de la pensée unique que nous impose la société. Elle peut vous valoir un procès en diabolisation si vous osez vous opposer à la biodiversité et la remise en cause d’un principe religieux écolo, « la nature en premier ».

Cette question est loin d’être anodine depuis que le lobby écolo a pris les rennes de la politique, des médias, de l’éducation et même d’un ministère idéologique et nous conditionne à charge matin midi et soir sur les questions de notre emprise sur l’environnement.

La terre est dominée sans partage par l’homme. L’homme agit autrement que tous les êtres vivant sur terre. Il est totalement différent. L’homme a tellement évolué qu’il n’y a rien d’autre que lui qui lui ressemble. Nous entendons tous les jours que l’homme bon et juste vit en « harmonie avec la nature » mais en fait, vivre en harmonie avec la nature c’est vivre en sauvage. Nous ne vivons pas en harmonie avec la nature, et bien heureusement.

Peut-on encore dire que nous faisons partie de la nature ? Probablement non !

Nous sommes d’une autre nature, une nature évoluée et évolutive.

Notre évolution nous a rendus « non-naturels », « hors-nature » ou « extra-naturels ».

Notre évolution nous a rendu tellement puissant que rien de naturel sur terre ne nous égale. La réponse aux questions de savoir si nous faisons toujours partie de la nature, et si nous en avons même besoin, repose sur une compréhension de ce que nous voulons.

L’homme fait plus qu’utiliser la nature à son profit, il la transforme, il la manipule et crée un monde qui n’a rien de naturel.

Le futur de la terre est une domination, une domination pure et totale. Pas l’utopie écologiste d’un retour à une nature totalement fantasmé et idéalisée.

En fait la nature est hostile lorsque l’homme ne la domine pas. Elle n’est plus faite pour l’homme actuel et ne le sera plus jamais. Nous vivons dans des villes, de béton et de verre, et les fougères sont dans le jardin à l’herbe coupée à la tondeuse et les serpents, on les admire au zoo.

La grande particularité de l’humain, c’est qu’il avance vers l’inconnu. Il n’a pas de point de repère, il n’y a pas d’exemple pour se comparer à ce qu’est réellement un être qui a quitté le naturel. De la même manière, un environnement « humain » est à créer.

L’environnement naturel est caduc.

Ce qui nous rend humains en premier lieu, ce qui n’est pas aussi évident qu’il y paraît, c’est un statut totalement différent de tout ce qui existe de naturel.

L’homme du 21eme siècle n’est pas ou plus du tout fait pour vivre dans la nature, il a dépassé le cap. Nous n’avons rien à voir avec l’Indien que Colomb a découvert, nous ne pourrions vivre comme lui au milieu de la nature.

Notre statut est celui d’animaux modifiés ou «dénaturés». Nous sommes des créatures qui se sont séparées du monde naturel. L’homme s’est séparé progressivement de la nature initiale.

La nature à l’état brut nous pose plus de problèmes que d’avantages

L’homme a fait la bombe atomique. L’homme avance sur la route du pouvoir d’un dieu. Actuellement les chercheurs essayent d’allonger la vie comme celles sur le transhumanisme et nous progressons sur l’élimination du vieillissement naturel.

hydroponie3

Les plantes poussent sans terre, les poissons ne sont plus à l'état naturel

Et avec du soleil artificiel qui n’a rien de naturel. Les premiers immeubles en agriculture hydroponique sur plusieurs étages se construisent dans les zones industrielles, même pas à la campagne. A Londres, c’est sous terre que des salades sont produites.

Il y a bien longtemps que nous ne prélevons plus nos aliments à la nature sauvage, les animaux sont domestiqués et les premiers steaks artificiels sans vaches sont en élaboration dans les centres de recherche.

90% des fruits et légumes que nous consommons n’existaient pas sous la forme actuelle il y a seulement 400 ans. Le chihuahua, que promène mamie, c’est l’homme qui a créé cette race comme toutes les races de chien sur la base d’un loup. Les races d’animaux domestiques n’ont pas été créées par la nature Darwiniste, mais par les sélections supra-naturelles de l’homme.

On peut même se passer de la mer et ses poissons à l’état naturel. Le poisson d’élevage et l’aquaculture remplacent le poisson sauvage sur nos étalages dans les pays occidentaux.

Nous n’avons pas besoin de la nature pour faire de la sélection naturelle. La sélection génétique des OGM, de l’ADN sont maîtrisés et transformables à volonté par l’homme. La révolution biologique est de plus en plus pointue.

Les écolos paniquent, mais vivent en ville

Nous ne savons pas où nous allons, les écolos paniquent sur notre destination. Ils ont peur du changement et peur de l’inconnu. La peur du risque. Leurs palabres sont anxiogènes. La nostalgie d’un passé en contact avec la nature idéalisé factice qui joue sur une nostalgie romancée.

En réalité, ils vivent en ville, veulent des arbres à Paris en face de chez eux, mais ont peur de faire quelques kilomètres et se déplacer pour se promener au milieu des arbres du bois de Boulogne. Vous les imaginez pousser une charrue ?

Ce sont des enfants gâtés de l’abondance. Ils ont inventé le « principe de précaution », c’est la peur du modernisme qui les anime. La nature n’est que l’excuse. Aucun ne se propose de jeter son portable et sa fourchette dans la poubelle à produits électroniques et métaux.

Que sera notre futur ?

On peut dire que les choix et possibilités de nos progrès technologiques rendent difficile d’imaginer quel futur s’offre à nous.

Elles sont tellement nombreuses et inconnues qu’elles engendrent des réactions de peur et certains s’auto-persuadent que la croissance ou le rejet du modernisme et un retour a la nature serait salutaire

C’est le coût de la liberté. La liberté engendre la peur du futur pour ceux qui ne sont pas sûrs d’eux ou habitués à être pris en charge.

Pourquoi préserverions-nous un statu quo avec la nature ?

L’argument de la biodiversité à y réfléchir sur le fond, pose aussi une question, c’est pourquoi faire ? Faires des zones musées ou se promèneraient tranquillement les animaux qui ne peuvent suivre notre évolution?  Pour se donner bonne conscience ? Pour le paraître proche de la nature ? Par mimétisme écolo ?

Pourquoi n’éradiquerions pas tous les moustiques parasites ? Ces sortes d’insectes n’ont que des inconvénients et indispensables à personne. Au nom de la biodiversité,  laisser le paludisme, chikungunya ou maladie de Charcot décimer les humains ?

Il faut admettre la vérité, la nature ce n’est pas les allées du parc où les bobos promènent leurs enfants dans des poussettes que les écolos essayent de nous faire croire. Les Orangs-Outans, la jungle, les bobos aiment, mais là bas, en Indonésie ou Amazonie. Ils ne veulent pas savoir que les autochtones ont peur de traverser un fleuve et que l’espérance de vie est moindre quand on est un peu trop proche de la « vraie » nature et les efforts nécessaire pour y vivre.

Les grands changements font partie de notre évolution.

Nous devons accepter ce que nous faisons, nous devons accepter notre domination sans précédent.

Non pas que le modernisme n’a pas d’effets pervers parfois indésirables, mais il faut les accepter, tenter de les réduire, comme réduire la pollution moderne mais pas de refuser le modernisme pour autant.

Le changement climatique ?

On vit très bien à Las Vegas. Nous gagnerions plus à nous adapter au climat qu’essayer de le faire revenir à un état naturel qui va grever notre prospérité, et appauvrir le monde.

Les écolos pensent que les besoins de modernisme sont suffisants et que l’humain doit faire un retour vers la nature et veulent imposer une « décroissance ».

Le PIB a été multiplié par 150 dans le seul dernier siècle. A la fin de notre siècle, elle sera du même ordre. Multiplié par entre 100 et 200 fois selon les facteurs d’innovations techniques de rupture.

C’est dans les pays où la modernité est apparue que la famine a disparue et le niveau de vie s’est développé.

Vous pouvez facilement résumer les scénarios dans lesquels une hausse de quelques degrés est facilement assimilable.

En 2100 le pouvoir humain sur la nature sera tellement augmenté, que c’est l’homme domestiquera le temps et n’en sera plus tributaire.

La décroissance que nous impose le pire lobby que la terre connaisse, le lobby écolo-gauchiste, nous promet l’étatisme, le taxatisme, nous rendra pauvre, et fait perdre nos libertés. Le moteur des « excuses » des coercitions est « la nature », mais la nature n’est pas le paradis.

Les arguments en faveur du maintien de la biodiversité sont généralement basés sur la survie, l’économie ou l’éthique.

Les arguments ne fonctionnent qu’à l’anxiogène et la diabolisation de l’humain.

Il est raisonnable de penser qu’avec le temps, la plupart des solutions biologiques, météorologiques pourront être synthétisées autrement que par la décroissance et la technologie que par la contrainte ou le totalitarisme et l’étatisme.

La réponse est simple, nous avons changé la nature, et nous ne reviendrons pas en arrière…

L’écologie est la peur de l’inconnu et du changement et une nostalgie idéalisée d’un monde naturel fantasmé…

La nature, c’est joli, une belle image, mais il ne faut pas sur-jouer son importance. A l’état brut elle n’est pas sympa du tout.

© Spartacus pour Dreuz.info.

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D
les êtres humains depuis la nuit des temps tente de prendre le contrôle sur tout les aspects de la vie,que se soit sur sa propre race comment sur toutes formes animal ou végétal .Mais la chose qu'il oublie c'est qu'il na uniquement l'illusion de la contrôler partiellement.
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J
Ha ha, ca rigole moins !
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B
Bien d'accord avec le commentaire ; mais la majorité de la population vivant en ville est complètement paumée à la campagne et bien incapable d'y survivre. Et le mouvement n'est pas prêt de s'arrêter, ce qui fait que l'auteur pronostique que d'ici quelques générations l'Homme n'aura plus besoin de la Nature qui pour le coup lui sera totalement hostile. Oui il restera bien quelques mormons, héritiers des écolos de 2020 et qui survivront avec leurs coutumes ancestrales. Est ce bien ou mal, je n'en sais fichtre rien.
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S
D'accord sur le fait que la nature est un lieu hostile pour l'humain, et surtout l'humain moderne "dénaturé".<br /> <br /> Il ne faut pas oublier le fait que les peuples dit "primitif" en Amérique du sud, en Indonésie etc... sont des peuples qui ont traversé les millénaires tout comme l'homme moderne. Pourtant ils vivent dans la nature avec elle et pas contre elle. Eux (les peuples primitifs) existent toujours à l'heure d'aujourd'hui, nous aussi. la différence c'est que ces peuples à travers les millénaires se sont adaptés (tout comme les animaux) à leur environnement et ont développés leur défenses immunitaires en conséquence, bien qu'il vivent en moyenne moins longtemps que nous. Car plus exposés aux accidents et surtout il n'y a pas la possibilité de se faire soigner/opérer suite à une vilaine chute, etc... donc une simple fracture ouverte peut leur être fatale, tandis que nous, nous allons à l'hôpital et on s'en remet. Donc il n'y a pas une meilleure manière de vivre qu'une autre.<br /> <br /> la question est; ne faut-il pas vivre simplement sans le stress du monde de l'homme moderne sans sa pollution mais moins longtemps ou vivre comme nous, certes plus longtemps, mais avec le stress permanent de nos sociétés modernes et de toutes les pollutions et complications qui vont avec? <br /> <br /> Je ne pense pas que vivre en osmose avec la nature soit un idéal ou au contraire infernal, tout comme vivre comme l'homme moderne "dénaturé" soit également un idéal ou soit infernal!<br /> <br /> Ne faisons pas non plus l'apologie de l'homme moderne en ventant tout ce qu'il fait, car beaucoup de complications en découle pour l'humanité elle-même et pour le reste du vivant. <br /> <br /> Peut-être qu'en éradiquant tous les moustiques porteurs des maladies les plus meurtrières du monde, on ne mourra plus de mort naturelle (une mort bio, si je peux me permettre la blague), mais avec tout ce que l'homme moderne fait de néfaste et toutes les conséquences qu en découlent, mourra-t-on certainement d'autre maladie ou complication de santé artificielle, le résultat au final, n'est-il pas le même? Alors pourquoi toute cette folie de nos sociétés modernes? <br /> <br /> Je pense que nous sommes déconnectés de la nature, c'est un fait, si nous devions vivre tout l'hiver dans une forêt des Vosges sans avoir le droit de demander de l'aide à quiconque, je suppose qu'on ne survit pas longtemps et qu'on ne passera même pas noël. Ce que je remets en cause dans cet article (Pourtant rempli de faits avérés) c'est le fait d'accepter ce que l'homme moderne de demain fera et d'accepter au fur et à mesure de notre future évolution, de dire au revoir au sites encore naturels et que la nature n'a plus de place.<br /> <br /> Je pense sincèrement qu'il faudrait trouver l'équilibre, tout simplement un équilibre entre existence de notre société moderne, et la nature, que les deux puissent cohabiter. Le monde du vivant dont l'être humain ne peut pas vivre sans la nature, c'est elle qui nous permet de vivre, qui donne la bonne rotation, la bonne vitesse de rotation de notre astre, la bonne pression atmosphérique, la bonne distance avec les autres astres de notre système solaire. C'est elle aussi qui nous fournit l'oxygène via ses océans et ses forêts, tout est lié et bien accordé, à vouloir trop vivre contre la nature, nous risquons simplement de rompre les équilibres qui nous entourent et de finalement tout perdre. Tout perdre à vouloir être avide de toujours plus, à être cupide, vaniteux etc...<br /> <br /> Le discours écolo est anxiogène, même insupportable à force d'être répété à longueur de journée, ça devient même un insulte à notre intellect. Je ne fais ni l’apologie d'une nature brute hostile, et ni de la société moderne de l'humain dénaturé qui finira à être hostile envers lui-même tôt ou tard, il faut juste retrouver où sont les vraies priorités, le vrai équilibre à ne pas rompre et de pouvoir vivre sur notre belle planète, qui rappelons-le est quelque chose de fini, donc ne la grignotons pas trop!
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