Ce que la propagande dissimule soigneusement est le fait maintenant admis par un grand nombre de spécialistes du climat (dont je ne fais pas partie) que le réchauffement du climat qui débuta à la fin des années 1930 a bien pris fin aux alentours de 1995.
Cette tendance est particulièrement évidente en Amérique du Nord et va s’étendre à l’Europe dans les prochaines années. En effet, une étude publiée au début de l’année 2019, et réalisée par une équipe de climatologues de l’Université de Lanzhou en Chine sous la direction du Docteur Xiaodan Guan a montré sans ambiguïté que le climat sévissant vers le chaud ou vers le froid sur le continent nord-américain était étroitement lié aux oscillations multi-décadales de l’Océan Atlantique (AMO).
Toutes les données utilisées dans cette analyse proviennent de banques de données disponible auprès de la NOAA ou d’autres organismes des USA.
Ces oscillations suivent une fréquence d’environ 60 ans toujours inexpliquée dans le détail. Une analyse à l’aide de fonctions intrinsèques des températures, des vents en altitude et des précipitations indique que l’évolution des températures sur le continent nord-américain est entrée dans une tendance vers la baisse comme le montre l’illustration ci-dessus.
Les spécialistes auto-proclamés de l’IPCC (GIEC), devant cette évidence, ont parlé de « hiatus » et que cette tendance n’allait pas durer. Pourtant, il ne s’agit pas du tout d’un hiatus que leurs modèles n’expliquent pas et ne le peuvent pas puisqu’ils sont tous faux.
Le réchauffement du climat appartient maintenant au passé et les émissions de CO2 peuvent continuer à augmenter : rien ne modifiera cette évolution.
Devant ce type d’information scientifique les sbires de l’IPCC n’ont cessé depuis le début de l’année 2019 de renforcer leur propagande car il ne reste que peu de temps pour organiser l’arnaque mondiale – du moins celle cirigée vers les habitants des pays riches – sous forme de taxes diverses dans le but de sauver le climat et comme cela ne suffit plus ils ont ressorti le serpent de mer de la biodiversité.