Thierry FERJEUX MICHAUD-NÉRARD
Selon certaines croyances, certaines études pourraient le montrer.
Mais qu’est-ce que cela signifie ?
Et quid des allégations d’apocalypse climatique de Claire Nouvian ?
Tous les médias veulent sans aucun doute que les contribuables le croient et de nombreuses personnes pensent qu’il est clairement établi que « l’apocalypse réchauffiste » est pour demain. Les politiciens réchauffistes du GIEC ont joué un rôle dangereux dans cette affaire louche, manipulant les médias pour diffuser des croyances que les partisans de la cause réchauffiste ont utilisées au profit des milliardaires spéculateurs de l’industrie soi-disant verte.
Les groupes de pression des spéculateurs de l’industrie verte ont financé la propagande infantile de Greta Thunberg et ils veulent sans aucun doute que les contribuables soumis la croient.
L’organisation à but lucratif basée en Suède a financé la belle histoire de Greta Thunberg. Une famille de milliardaires investit et embauche Ingmar Rentzhog dans un Think Tank pour développer les thèmes de la croissance verte, de l’économie circulaire.
Tout a été finement programmé.
Il n’y a pas de hasard dans la rencontre « sur le trottoir devant le Parlement » à Stockholm entre Ingmar et Greta.
La start-up We Don’t Have Time (Nous n’avons pas le temps) a l’ambition de créer un réseau social de plus de 100 millions de membres qui influencera les hommes politiques et les chefs d’entreprise pour qu’ils agissent contre le réchauffement climatique.
Parmi les actionnaires de la start-up, on retrouve les membres de deux familles : les Persson, les enfants du milliardaire Sven Olof Persson, qui a fait fortune, entre autres, dans la vente de voitures (Bilbolaget Nord AB) et les Rentzhog. Mais les deux familles d’investisseurs n’ont bien sûr aucun lien avec l’écologie !
Figarovox/Tribune, Pascal Bruckner : « Greta Thunberg qui veut jouer aux adultes et la dangereuse propagande de l’infantilisme climatique« .
Il s’agit de répandre un discours de peur sur le climat pour créer une jeune génération terrifiée. Dans sa République (315 avant J.-C.), Platon met en garde contre la corruption de la démocratie qui consiste en une inversion des hiérarchies, par excès de liberté : quand le père traite son fils comme un égal, quand les maîtres flattent les disciples et quand les vieillards imitent la jeunesse.
La jeune suédoise de 16 ans se retrouve sous les projecteurs médiatiques du monde entier.
Elle fait la grève de l’école (cela pour sauver la planète du cancer) ! Greta veut influencer les décideurs politiques, à Davos, afin qu’ils respectent leurs engagements sur le climat. Son action a ému tous les militants écologistes de la planète : « Je ne veux pas que vous soyez désespérés, je veux que vous paniquiez. Je veux que vous ressentiez « la peur qui m’habite » chaque jour et que vous agissiez, comme s’il y avait le feu, parce que c’est le cas. […] Il y a encore une petite chance de stopper les émissions de gaz à effet de serre afin d’éviter des souffrances pour une grande partie de la population de la planète. »
Derrière le conte de fées de Greta Thunberg, on retrouve le petit génie suédois des public-relations, Ingmar Rentzhog ! Cherchez la fraude de « Greta Thunberg en grève devant le Parlement suédois ! » (adapté de Isabelle Attard).
Des études de l’église de climatologie ont établi un lien entre le climat et un éventail de problèmes de santé, ce que Montesquieu avait déjà évoqué.
Vérification des manipulations, suivi des allégations concernant les croyances sur le climat et le cancer, aucune de ces affirmations de l’église de climatologie ne résiste à l’examen minutieux. Il est clair que le GIEC a utilisé une tactique de com’ médiatique en vogue chez les groupes politiques de toutes tendances dans sa prédication : « l’apocalypse réchauffiste » est pour demain.
La technique du GIEC mérite d’être examinée : passer au crible la littérature revue par les pairs pour trouver des études qui corroborent leur prédication en écartant les résultats de recherches contradictoires, une tactique largement utilisée par la propagande communiste des staliniens.
En conséquence, ce choix très sélectif aboutit à des conclusions erronées. C’est pourquoi les scientifiques qui critiquent cette pratique insistent sur l’évaluation de toutes les recherches disponibles pour rechercher « la prééminence de la preuve scientifique. »
Pour illustrer combien il est facile de contredire une hypothèse non étayée, comme le fait que l’église de climatologie guérirait le cancer, on doit se montrer sceptique face aux affirmations sensationnelles concernant les prédications de « l’apocalypse réchauffiste ». De même en ce qui concerne le fait controversé que l’église de climatologie pourrait être un remède contre le cancer en mettant uniquement en évidence les croyances à l’appui de cette thèse. Au cours des dernières années, une poignée d’études ont suggéré que l’église de climatologie possèderait un remède aux propriétés anticancéreuses. La plus évidente question à se poser est la suivante : « Que faisons-nous de cette croyance ? » Qu’a-t-on prouvé en disant que la foi en l’église de climatologie aurait un impact positif sur les maladies cancéreuses ? Les études de l’église de climatologie sont notoirement peu fiables, comme le savent les critiques sceptiques à propos de la climatologie du GIEC.
Il est donc difficile de tirer de grandes conclusions de telles croyances improductives. Que concluent les experts indépendants ? Niant toutes ces mises en garde, le GIEC a demandé à ses experts d’évaluer les résultats des études récentes suggérant un bénéfice futur des prédications de « l’apocalypse réchauffiste ».
Malgré cela, le scepticisme à propos des prophéties du GIEC reste justifié, comme le suggèrent des scientifiques indépendants du lobbying du GIEC et des responsables tels que sont les climato-sceptiques.
L’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments a agi de la sorte et n’a trouvé aucune preuve que le Réchauffement climatique nuirait à la santé et encore moins à la production agricole favorisée par le CO2.
Cela conduit à une différence fondamentale entre la science et l’activisme réchauffiste du GIEC. Ce qui est frappant, c’est l’extrême banalité de la croyance dans « l’apocalypse réchauffiste ». Les prophéties du GIEC ont diffusé dans les médias des prédications kafkaïennes, un effet d’une exigence très contemporaine et un classique de la science politique pour s’amuser à faire peur aux gens pour les racketter fiscalement.
L’on a défini les régimes démocratiques, négativement, par opposition aux régimes dictatoriaux.
C’est comme l’activisme réchauffiste du GIEC qui interdit l’usage de la pensée scientifique se fondant sur le débat, la délibération, le dialogue et la parole libres ! Face au dénigrement du GIEC à leur encontre, les climato-sceptiques pourraient engager une « guerre contre-prophétique » vis-à-vis de l’église de climatologie.
C’est pourquoi « l’apocalypse réchauffiste » et les prophéties de l’église de climatologie exigent analyse, réflexion, le commentaire et le commentaire du commentaire, et cela pour des siècles et des siècles. Amen !
En hommage à Élisabeth Lévy : Climat : « les missionnaires de l’Apocalypse ». Le réchauffement climatique n’est plus objet de réflexion, ni même d’inquiétude rationnelle, mais celui d’une foi apocalyptique.
À longueur de pétitions moralisatrices, les adorateurs de la Terre excommunient les déviants. La fin du monde est proche et c’est votre faute. Mais si vous faites pénitence, l’humanité sera peut-être épargnée.
Ce message, psalmodié sans relâche par d’innombrables prophètes et par d’insupportables enfants de chœur, a acquis force de vérité révélée dans d’innombrables niaiseries écolo. Face à la menace radicale, il y a l’urgence absolue de contrer le plus grand défi de l’histoire de l’humanité ! Ben voyons ! Takaycroire !
« Nous vivons un cataclysme (la peste écolo-planétaire). Au rythme actuel, dans quelques décennies, il ne restera plus rien. Les humains et la plupart des espèces vivantes sont en situation critique. Il est trop tard et l’effondrement est en cours. La sixième extinction massive se déroule à une vitesse sans précédent. Mais il n’est pas trop tard pour éviter le pire… la lutte fiscaliste contre le péril climatique est la priorité absolue !
« Autant prier pour l’éradication du cancer ! » (adapté de Élisabeth Lévy sur Causeur)
Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.