Voici les 5 critères qui permettent d’identifier une vaste opération de désinformation
Critère n°1 : Unanimité de tous les médias et de tous les politiques, voire de toutes les institutions internationales
Critère n°2 : Surinformation sur un aspect de la question, omerta sur les autres
Critère n°3 : Tous les bons d’un côté, tous les mauvais de l’autre
Critère n°4 : Acquiescement de l’opinion débouchant sur une psychose collective.
Critère N°5 : Refus d’accepter les observations dérangeantes et la controverse scientifique.
Le réchauffement climatique anthropique et la politique énergétique associée satisfont à ces 5 critères. Dans le domaine scientifique, l’esprit critique, le scepticisme et la controverse sont des vertus. Mais en climatologie et en production d’électricité ce sont des tares. Curieux, non ?
Or, il faut être conscient que les politiques énergétiques sont basées sur les thèses hypothétiques du GIEC, à savoir que le CO2 aurait une action mesurable sur la température. Donc le CO2 est lourdement taxé, sur les carburants et sur l’électricité (taxe CSPE, en augmentation rapide). Selon une étude de l'IFRAP (Institut français de recherche sur les administrations publiques) , les surcoûts de la loi de transition énergétique se montent à 23 Md€ en 2016, et, si cette loi perfide perdure en l'état, ils se monteront à 70 Md€/an en 2030. De quoi faire imploser le pouvoir d'achat des ménages, la compétitivité de nos entreprises... et exploser notre dette souveraine.
http://www.ifrap.org/agriculture-et-energie/transition-energetique-dites-la-verite-aux-francais
Le Ministère de l’environnement a lancé, il y a quelque temps, une consultation sur Internet au sujet de la transition énergétique. La majorité des internautes a vivement critiqué cette politique énergétique basée sur l’éolien et le solaire. Le Ministère n’a tenu aucun compte de ces critiques et il a durci sa position avec le décret De Rugy-Lecornu qui réduit les possibilités de recours des riverains contre les projets d’usines éoliennes, ce qui est un déni de démocratie inacceptable.
Les politiques climat-énergie de notre pays (et de la plupart de pays de l’UE) sont donc basées sur l’hypothèse non prouvée que nos émissions de CO2 ont une action mesurable sur la température moyenne annuelle globale (TMAG) et sur le climat de notre planète. Il s’ensuit que les politiques énergétiques privilégient en principe les émissions bas carbone et elles sont censées, en outre, de fournir des moyens de production conformes aux standards d’une production rationnelle d’énergie électrique, à savoir :
1. Elle doit être pilotable, adaptable en temps réel aux fluctuations de la demande. En particulier, elle doit être capable de gérer les heures de pointe (HP) et de réduire la production en fonction de la baisse de la demande en heures creuses (HC).
2. Elle doit être indépendante des caprices d’Eole et des cycles de Phébus.
3. Elle doit avoir un impact mineur sur l’environnement et la biodiversité
4. Le réseau de transport ne doit pas être soumis à des fluctuations brutales et aléatoires
5. Le prix du kWh doit être compétitif
6. La sécurité d’approvisionnement doit être garantie
7. Elle doit avoir un bilan carbone vertueux
Contrairement à ce qui nous est affirmé péremptoirement, le bilan carbone des éoliennes intermittentes est mauvais, de manière indirecte, car la gestion de l'intermittence en temps réel nécessite des centrales thermiques en soutien permanent, obligées de fonctionner en régime discontinu, ce qui dégage encore plus de CO2.
Donc, pour sauver la planète d’un problème vraisemblablement imaginaire, on met en place des filières qui vont à l’encontre de ce qui est souhaité. Comprenne qui pourra !... Le solaire ne produit que la journée, quand le soleil brille, donc davantage en été, alors que la demande est minimale, et très peu en hiver, alors que la demande est maximale.
Et aucune production en HP du soir ! Il est facile de vérifier que les éoliennes intermittentes ne satisfont à aucun des standards d’une production rationnelle d’énergie électrique : non pilotables, soumises aux caprices des vents, massacreuses de biodiversité ailée, oiseaux et chauves-souris (ce qui perturbe gravement l’équilibre des écosystèmes locaux), sources de nuisances pour les riverains (infrasons), sources de variations brutales du réseau de transport, surcoût annexes (réseau électrique, transformateur, smart grids, ... prix du kWh élevé, aucune sécurité d’approvisionnement en HP hivernale du soir, bilan carbone non vertueux, et ... racket institutionnalisé des ménages (taxe CSPE), en augmentation rapide, ce qui fait que l’on se demande quelle est la justification de leur développement inconsidéré.
Les profits pharaoniques des promoteurs, aux frais des ménages ? Une politique volontariste de décroissance, engendrant misère et graves mouvements sociaux ? Un torpillage en règle du tourisme dans nos belles régions, défigurées par les usines d’éoliennes ?
Le soutien dogmatique d’une énergie « verte », alors qu’elle ne l’est pas ? Pour tuer le nucléaire, combat historique des Verts, alors même que son bilan carbone est particulièrement vertueux, ce qui est une seconde incohérence ? Pour toute personne sensée, les EnR intermittentes, à la technologie du passé, adulées par les chantres de l’écologisme, n’auraient jamais dû voir le jour, car les filières de la surgénération, sur lesquelles travaillent et avancent plusieurs pays, sont bien plus intéressantes.
Bref, l’éolien ne sert à RIEN et la politique gouvernementale, voulue par Emmanuel Macron, dont l’objectif est de favoriser les implantations d’usines éoliennes en bafouant les droits des citoyens,est néfaste pour notre pays.
Je rappelle que le CO2, qui n’est PAS un polluant, quelle que soit son origine, est gaz de la Vie sur Terre : sans lui, pas de photosynthèse, donc pas de végétation, pas de phytoplancton, pas d’oxygène. Il est donc incompréhensible de le considérer comme un polluant et de le taxer. Taxer le gaz de la Vie, n’est-ce pas absurde ?
Pour finir, selon le rapport AR5 du GIEC/IPCC, nos émissions de CO2 ne sont que de 4 à 6% du total des émissions. Le temps de séjour du CO2 anthropique est estimé par le GIEC/IPCC à une centaine d’années alors que 40 publications le chiffrent à 8 ans en moyenne quelle que soit son origine, naturelle ou anthropique.
Donc, même si le CO2 avait une action mesurable sur la température, ce qui reste une hypothèse non prouvée, plus idéologique que scientifique, notre politique climat-énergie, sensée agir sur 1% environ du total des émissions mondiales, n’aurait aucun effet, si ce n’est procurer des avantages déraisonnables aux promoteurs de l’éolien (et du solaire), qui sont le plus souvent des financiers étrangers attirés par ce marché très juteux, d’augmenter la précarité énergétique, de détruire de l’emploi de réduire le pouvoir d’achat des ménages et de diminuer la compétitivité de nos entreprise, avec un noria de taxes, de normes et de règlements contraignants. Faire plus absurde, est-ce possible ?
http://www.ifrap.org/agriculture-et-energie/transition-energetique-dites-la-verite-aux-francais