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Le Blog de jlduret

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Pensez juste ou pensez faux mais pensez par vous-même ! Depuis Socrate, le devoir du penseur n’est pas de répéter la doxa du moment mais de la questionner. Sans cette liberté d’exprimer opinions et pensées, point de démocratie.


WWF et IPCC (GIEC pour nous), un bien curieux mélange

Publié par jlduret sur 24 Mars 2018, 19:27pm

Catégories : #GIEC et WWF

WWF et IPCC (GIEC pour nous), un bien curieux mélange
WWF et IPCC (GIEC pour nous), un bien curieux mélange
WWF et IPCC (GIEC pour nous), un bien curieux mélange

WWF et le secret bancaire

Comme personne ne doit l’ignorer le siège social du WWF se trouve à Morges en Suisse non pas parce que la nature y est mieux préservée mais parce que le secret bancaire l’est encore très bien. L’appellation officielle du WWF est World Wide Fund for Nature (site officiel du WWF : http://wwf.panda.org/ ).

Puissant lobbyiste

Outre ses actions humanitaires et de protection de la nature le WWF est également un puissant organisme de lobbying qui embrasse un nouveau niveau de régulations, de bureaucratie et de lois internationales en un réseau global pour s’assurer que les gouvernements contrôlent mutuellement leurs actions de sauvetage de la planète afin de la rendre encore plus écolo-accueillante car le WWF sait de quoi il en retourne.

Comment le WWF a noyauté le GIEC (you IPCC)

Et comme avec beaucoup d’argent on sait se faire entendre et imposer ses vues alors le WWF n’a pas hésité à s’immiscer dans les affaires de l’IPCC, l’organe onusien en charge de disperser les bons conseils aux gouvernements pour la sauvegarde du climat, organisme également basé en Suisse, plus précisément à Genève. Comme le climat fait évidemment partie intégrante de la nature le WWF a donc dès 2004 agi pour contrôler indirectement l’IPCC (GIEC pour les francophones).

En cette année 2004 Les Nations-Unies commandèrent le rapport qui sera appelé par la suite IPCC-2007 Report et qui constitue la base des actions pour le climat. Dès la fin de l’année 2004 le WWF créa une entité parallèle appelée Climate Witness Scientific Advisory Panel (Panel consultatif scientifique sur le climat) dont la mission fut tout de suite de contrôler tous les scientifiques ciblés par l’IPCC afin qu’ils soient si l’on peut dire les choses ainsi en conformité avec les missions du WWF.

Le WWF n’a jamais dissimulé que le pouvoir de l’argent était un moyen de persuasion imparable comme par exemple en faisant miroiter à certains scientifiques des aides financières pour leurs travaux de recherche si ces derniers choisissaient les préoccupations conformes à son idéologie : l’état d’urgence de la protection de la planète. Le document datant de 2008 attestant de ces agissements est disponible auprès du WWF International Climate Witness basé à Sydney en Australie ( http://www.panda.org/climatewitness ).

WWF recrute les "scientifiques" choisi par le GIEC

Les scientifiques « recrutés » par le WWF pour être ensuite choisis par l’IPCC devaient non plus vraiment réaliser des travaux de recherche pure et dure mais des sortes d’enquêtes sur le terrain afin de rédiger des articles aussi alarmistes que possible même au mépris de toute déontologie scientifique de base.

Et c’est devenu courant que des articles supposés de haute tenue scientifique relatifs au changement du climat ne sont que des impressions recueillies oralement auprès de « l’homme de la rue » à la suite de questions du genre : « Avez-vous l’impressions que le climat change ? », « Avez-vous remarqué qu’en raison du changement climatique il y a moins d’insectes collés sur le pare-brise de votre voiture ? » ou enfin « Avez-vous remarqué un changement dans le rayonnement ultra-violet ? ».

« Pour se conformer au niveau de connaissances relatives au changement climatique la fonction première d’un membre du Scientific Advisory Panel (i.e. un scientifique recruté par le WWF) doit vérifier sur des bases scientifiques les histoires de changement climatique collectées par le WWF dans le monde entier et s’assurer qu’elles sont susceptibles de faire l’objet d’une publication dans une revue à comité de lecture dont le centre d’intérêt se situe au niveau des impacts du changement climatique dans une région du Globe particulièrement considérée » (sic, source : WWF). Inutile de dire qu’une telle démarche invalide totalement le résultat d’une telle « recherche scientifique ». Des scientifiques ont donc travaillé parfois dans des conditions difficiles pour finalement voir leurs travaux avalisés par un entrefilet dans une des nombreuses publication du WWF et pour le seul bénéfice de cette dernière organisation. Evidemment de nombreux scientifiques ont perdu leur âme dans ce genre d’opération à caractère plus politique et idéologique que scientifique et ils en ont été très souvent pour leurs frais parfois à titre personnel.

Si le WWF est un organisme à l’évidence politique, l’IPCC était supposé être neutre et être d’une objectivité scientifique ne pouvant pas être mise en doute.

Dans un document datant de 2008 le WWF déclara que « ses » 130 climatologistes réputés (ceux qui avaient donc signé la charte d’enrôlement à cette organisation) faisaient aussi partie en majorité du panel des scientifiques de l’IPCC. Le rapport de l’IPCC de 2007 qui lui valut le Prix Nobel (faut-il le rappeler) comprenait 28 des 44 chapitres, soit 64 % de l’ensemble de cette prose, rédigés par au moins un signataire affilié au WWF et que la rédaction de tous les chapitres du groupe 2 de ce rapport furent tous supervisés par ces « scientifiques » affiliés au WWF.

Ceci veut tout simplement dire que l’IPCC a été entièrement infiltré par le WWF et qu’il est entièrement compromis de l’intérieur.

Source : Donna Laframboise (http://nofrakkingconsensus.com). Donna Laframboise est journaliste d’investigation canadienne indépendante. (À suivre)

Lu ici

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