En vert mes commentaires ; hélas je ne pourrais pas ici citer toutes les sources de ce vaste sujet, mais le blog en est rempli.
Si vous doutez, chercher les données et faites vous une opinion.
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L'article au complet
En mars, Trump a signé un décret abrogeant des mesures de réduction d'émissions de CO2 pour les centrales thermiques.
En avril, l'Agence de protection de l'environnement (EPA) a effacé de son site la page consacrée au réchauffement climatique.
Deux mois plus tard, Donald Trump annonçait le retrait des États-Unis de l'accord de Paris sur le climat.
Le ministre de l'environnement, Scott Pruitt, poursuit la croisade climatosceptique du président.
Selon une source interrogée par le site E&E News, Pruitt est sur le point de mettre sur pied un comité visant à «évaluer la science climatique aux États-Unis».
Il serait temps que quelqu'un fasse le point des contre-vérités du GIEC et de ses modèles qui ne fonctionnent pas.
Or Pruitt a une vision particulière de la science climatique: en mars, il avait déclaré que le dioxyde de carbone n'était pas un facteur primordial du réchauffement climatique, en contradiction avec les recherches scientifiques sur le sujet.
Ben oui, mais il n'est pas le seul : de très nombreuses études "démontrent" la non-responsabilité du CO2 dans le RC.
Alors qu'il y a un consensus scientifique sur l'existence et les causes humaines du réchauffement climatique, Pruitt continue de penser qu'il y a débat et qu'il faut que différents points de vue soient entendus.
FAUX il n'y a absolument aucun consensus scientifique validant le RCA.
«Nous pensons pouvoir recruter les meilleurs dans les domaines du climat et organiser un processus dans lequel ces individus feront la critique de nouveaux rapports sur la science du climat», a expliqué la source au sein de l'EPA.
Pourtant, les études scientifiques sur le sujet font déjà l'objet d'évaluations rigoureuses par des comités scientifiques.
Ce genre d'initiative serait donc un moyen pour l'EPA de politiser le processus en recrutant des climatosceptiques.
Ah la belle blague : le GIEC est un organisme "politique" et nombreux sont les climatologues "sérieux" qui en on claqué la porte.
«Pruitt pense que les Américains méritent une vraie discussion évaluée par des experts au sujet de la science du climat. Apparemment, il ne comprend pas que cela fait déjà trente ans que cette discussion a lieu dans les revues scientifiques», a expliqué un représentant démocrate du comité du Congrès sur la science.
En mars, des républicains au Congrès avaient invité trois scientifiques en désaccord avec le consensus sur le réchauffement climatique, et ils avaient demandé à ce que des enquêtes supplémentaires soient financées.
Leur souhait semble avoir été exaucé.
ENFIN : pour un réchauffement arrêté depuis 1998 et dont la plupart des climatologues estiment que le soleil est le seul vrai responsable des variations climatiques.
Interviewé par le New York Times, le professeur de sciences atmosphériques Andrew Dessler a expliqué que cette initative n'attirera probablement que des scientifiques peu rigoureux:
«Je ne pense pas que des scientifiques sérieux vont se précipiter pour participer à un processus qui est clairement une perte de temps. A mon avis au bout du compte, les participants ne seront pas vraiment qualifiés.»
Eh bien nous prenons le pari contraire. La porte est ouverte et les scientifiques sérieux ne vont plus hésiter à dire ce qu'ils en pensent, et sans risque de se faire boycotter.