Ce n'est pas un climatosceptique qui le dit
De toutes les alarmes dont on nous rebat les oreilles depuis une trentaine d'années, le niveau des mers et sa vitesse de montée sont les plus fallacieuses.
Les réfugiés climatiques chassés de leurs côtes, les îles qui disparaissent sous la montée des eaux, les côtes qui s'érodent, sont les menaces cent fois répétées par les media qui jouent aux perroquets alors que le niveau des mers à Brest s'est élevé de 30 cm en 300 ans comme l'indique le site officiel du marégraphe. Et qu'en Nouvelle Calédonie entre 1967 et 2005 il n'y a eu aucune élévation du niveau de la mer. Nouméa est à 770 km de Vanuatu.
Le niveau des mers n'accélère pas sa montée
Et non, malgré les alertes que ne cessent de nous rabâcher les media, le niveau des mers ne monte pas de plus en plus vite à cause du réchauffement climatique !
Une nouvelle fois, cette affirmation est FAUSSE. Le fonds de commerce des journalistes-perroquets est toujours le même, le réchauffement (qui a cessé depuis 18 ans maintenant) doit faire monter le niveau des mers et il faut bien saisir toutes les occasions pour tenter de nous alarmer. Le vêlage d'un glacier au pôle sud ou au Groënland, le recul d'un autre dans les Alpes, la calotte polaire estivale du Nord, les ouragans du Pacifique dévastant des îles sont là pour leur les aider dans leurs ordonnances, matin midi et soir.
Et pour rajouter facilement des mètres aux centimètres ils invoquent les supposées fontes futures des calottes glaciaires afin de soutenir le plus sérieusement du monde leurs scénarios-catastrophe qui reposent uniquement sur de bien faibles suppositions. Ils en oublient facilement les constatations qui les dérangent, comme l'extension de la banquise du pôle sud qui est à son maximum depuis le début des observations par satellite.
Certes, le niveau des mers monte
D'après les mesures par satellite, selon l'unité de recherche spécialisée de l'Université du Colorado, la valeur serait de 3 mm par an en moyenne. On peut se demander en quoi cette valeur peut être significative en regardant le tableau des sites mondiaux (lien en fin d'article).
Parce que cette valeur dite "moyenne" est loin d'être universelle. Selon les zones géographiques il y a une montée ou une baisse du niveau de la mer, plus ou moins rapide.
Montée des eaux des océans selon les zones maritimes
L'échelle inférieure permet de distinguer les taux de montée des eaux de moins dix à plus dix mm/an. On voit que la couleur jaune domine, et que les zones bleutées correspondant à une baisse du niveau des mers existent également, (mais les media ne voient pas le bleu).
Les côtes en danger ?
Bien entendu, les côtes françaises sont mises à contribution pour l'alarmisme journalistique. Une falaise qui recule sous la poussée d'une tempête est forcément un indice ab-so-lu du changement climatique qui renforce les événements météorologiques violents, et du réchauffement climatique qui fait monter le niveau des mers, le tout étant significatif du dérèglement climatique.
Par contre à Nouméa la montée du niveau des mers qui est égale à zéro est certainement dûe aussi au changement climatique, qui peut-être refroidit l'eau à cause d'un phénomène insoupçonné qu'on ne va sans doute pas tarder à découvrir.
Faisons pour cela confiance à nos journalistes !
De 1967 à 2005 le niveau des mers à Nouméa est resté stable. Certainement parce que la hausse dûe au réchauffement climatique a été compensée par une baisse dûe au changement climatique.
Le site (US) de la NOAA, l'administration américaine, indique pour sa part à Brest une vitesse de progression du niveau de la mer de 1,07 mm/an depuis les années 1800. Il est intéressant de consulter le tableau des sites mondiaux avec leur évolution particulière qui montre de grandes différences.
VU ICI, voir tous les graphiques.