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99% c'est énorme !
Ils sont séduits par les objets connectés d’après les résultat d’un sondage mené par le site 1001Pharmacies.com.
« De plus en plus d’objets sont connectés à notre corps.
Ces produits s’immiscent dans notre quotidien, avec pour objectif principal d’améliorer notre santé : pour garder la forme, pour améliorer ses performances, pour prévenir des maladies, pour diagnostiquer l’arrivée précoce de pathologies, etc.
Pour l’instant, ces objets sont encore très peu utilisés, notamment à cause de leurs prix prohibitifs.
Cependant, énormément de développements sont réalisés, et l’engouement qu’ils suscitent pousse à croire qu’ils deviendront rapidement indispensables aux utilisateurs.
Mais que pensent vraiment les consommateurs de ces innovations technologiques ?»
Cédric O’Neill, Pharmacien et co-fondateur de 1001Pharmacies.com.
Pour suivre son activité sportive et son sommeil
L’utilisation potentielle des objets connectés, quant à elle, diverge en fonction des personnes. Deux grandes tendances se dégagent :
- le suivi des activités sportives et des performances, ainsi que la prévention de certaines maladies intéressent tous deux prioritairement 65% des personnes interrogées,
- Le suivi de la qualité du sommeil et le diagnostic de certaines pathologies, quant à eux, attireraient une personne sur deux.
Le développement de ces objets connectés soulève de nouvelles problématiques quant à la sécurité des données récoltées
En effet, un réel problème éthique se pose sur la gestion de toutes ces données.
Car si elles peuvent être analysées pour améliorer la compréhension de certaines maladies, des personnes mal attentionnées peuvent également s’en servir à mauvais escient et être la cause de discriminations.
Un trouble qui inquiète près de 70% des sondés.
Seulement 12% des Français seraient prêts pour l’implant de puces médicales
Pour le suivi de certains paramètres biologiques et la prévention de maladies, les sondés restent majoritairement réfractaires à l’autorisation d’implants de dispositifs médicaux.
Seulement 12% des sondés seraient prêts à accepter l’implantation d’une puce connectée
Elle mesurerait les principaux paramètres biologiques nécessaires au pronostic de certaines maladies.
Cependant, 49% accepteraient tout de même de le faire, en cas de réelle nécessité et sur prescription d’un médecin.